Eco conception, entreprise, marketing…

Afin de répondre à une question j’ai fais quelques recherches et voici quelques résultats:

Avantages économiques

L’éco-conception rentre est une démarche qui, dans u premier temps, a pour but de minimiser l‘impact d’une industrie ou d’un service sur l’environnement tout en conservant une qualité optimale de services et de produits finis. En se développant et d’une autre manière, des lois européennes comme REACH (enregistrement, évaluation, autorisation et restriction des produits chimiques) contraignent des entreprises à repenser leur chaine de production (de l’extraction des matières premières au recyclage du produits fini). Ces études (Analyse du Cycle de Vie entre autres), faites par des cabinets, ont bien sûr un coût. Ils s’échelonnent de 10.000 à X0.000 euros pour des produits pour lesquels existent déjà des bases de données couvrant une grosse partie du cycle de vie. Si les données sont particulièrement spécifiques et jusque là non recueillies sous forme d’inventaire, l’ACV peut dépasser la centaine de milliers d’euros (ex : EDF pour étudier le kilo kilowatt.heure français en fonction de ses différentes sources (nucléaire, charbon, hydraulique,…) a dépensé prêt de 700 000 euros…).

On peut donc se poser une question :

L’éco-conception est-elle rentable pour l’entreprise ?

Une étude faite par une équipe franco-québécoise de chercheurs, de responsables institutionnels et de dirigeants d’entreprises a tenté de répondre à cette question en 2008 (voir rapport : http://www.ecochange.net/rapportetuderetourseconomiques.pdf). L’étude s’est porté sur 30 entreprises et a duré environ 18 mois.

A l’époque, il existait peu d’études approfondies concernant le rendement économique d’une démarche d’éco-conception. Une stratégie pouvait donc être difficilement établie, freinant ainsi l’initiative dans les entreprises. D’autre part il y avait un manque considérable d’outils de gestion économiques de l’environnement dû au manque de données à ce sujet.
Le but de cette étude était donc de rassembler un grand nombre d’informations sur ces nouvelles stratégies.

Si le cœur vous en dit le rapport fait 47 pages.

Conclusion de l’article

« L’analyse des données a montré que les résultats portant sur les retombées économiques directes (augmentation de revenu et/ou baisse de coûts) liée à l’éco-conception sont encourageants, tant du côté québécois que du côté français. A peu d’exceptions près, toutes les entreprises qui ont été rencontrées ont noté des améliorations notoires dans leurs comptes d’exploitation. En outre, les retombées non tangibles – amélioration de l’image, relations avec les parties prenantes, développement de la créativité – se sont aussi avérées être importantes. Rappelons que l’échantillon des entreprises sondées couvre un large spectre de secteurs industriels et même s’il n’est pas représentatif des entreprises québécoises ou françaises, différents cas de figure ont été notés. Une analyse plus fine des opérations et motivations des entreprises nous a permis de dégager quatre schémas émergents, allant du moins impliqué au plus impliqué :

1. L’éco-conception en tant qu’activité anecdotique : il s’agit des quelques entreprises rencontrées qui en sont à leurs premiers balbutiements en écoconception. Pour certaines, il s’agit d’une première expérience, mais pas pour toutes. Certaines entreprises ont développé le produit en se basant sur une ACV, mais pas toujours. À l’heure actuelle, il est difficile de savoir si ces entreprises envisagent poursuivre leur expérience en éco-conception, même si le produit qu’elles ont développé a été un succès commercial. Cinq entreprises font partie de ce groupe; deux québécoises et trois françaises.

2. Démarche systémique de l’éco-conception : les entreprises qui font partie de ce groupe sont convaincues des avantages de réfléchir en termes d’éco-conception dans leur développement de produit et ont souvent implanté des méthodologies d’ACV (ou autre méthode systémique). Certaines pratiquent l’éco-conception depuis assez longtemps (plus de 10 ans) et commencent à introduire d’autres éléments de développement durable dans leur organisation. Néanmoins, la démarche reste centrée sur le produit (ou service). Cinq entreprises québécoises et quatre entreprises françaises font partie de ce groupe

3. Démarche développement durable : la prise en compte de l’environnement pour ces entreprises s’inscrit dans une véritable démarche de développement durable, qui prend également le volet social, sociétal et économique en considération. L’éco-conception est donc un élément parmi d’autres. Quatre entreprises font partie de ce groupe, deux au Québec et deux en France.

4. Entreprises fondées sur l’éco-conception : ces entreprises ont été présentées dans le premier chapitre des résultats. Il s’agit d’entreprises qui ne font que des produits respectueux de l’environnement et dont le(s) dirigeant(s) sont fortement impliqué(s) personnellement en matière de protection de l’environnement. Dans plusieurs cas, ces entreprises sont particulièrement rentables. Il semble bien que la composante clé de succès soit l’efficacité de sa politique commerciale. En effet, du côté québécois, on note quelques difficultés pour deux entreprises, non pas en raison de la qualité ou l’attrait du produit, 45 mais, dans le premier cas, en raison d’un conditionnement peu attrayant, dans le deuxième cas, à cause d’un réseau de distribution peu étendu. On pourrait raisonnablement s’attendre à ce que les entreprises évoluent d’un groupe vers le suivant : c’est ainsi que Steelcase commence à mettre en place des actions plus globales en matière de protection de l’environnement et peut-être que d’ici quelques années, Lafuma sera une marque à 100% éco-conçue. »

Source : « L’éco-conception : Quelles retours économiques pour l’entreprise ? », décembre 2008.

Lien: http://www.ecochange.net/rapportetuderetourseconomiques.pdf

Je pense sincèrement que l’industrie est partie sur des bases au futur compromit : produire pour être rentable à tout prix sans vraiment se soucier des effets de Bohr.
L’éco-conception prend en compte les impacts environnementaux de l’activité de l’entreprise. Ceci a pour conséquence une remise en question des étapes de fabrication ou du service vendu ainsi que des modifications plus ou moins importante des étapes d’industrialisation.

Bilan

Les entreprises doivent étudier les conséquences de leur activité sur l’environnement (démarche d’éco-conception). Ceci aura un coût, mais à long terme je pense que tout le monde y est gagnant et les économies se feront en cascade. Le coût des études d’impact environnemental sera de moins en moins élevé si la demande devient croissante. La concurrence croissante viendra harmoniser les prix et ainsi rendre abordable ces études, même par les petites PME/PMI.

On parle de changement de comportement des êtres humains: éteindre la lumière lorsqu’on quitte une pièce, couper l’eau lorsqu’on se brosse les dents, etc… Ceci est en quelque sorte une démarche d’éco-conception, une remise en question des impacts environnementaux de son activité. Les entreprises doivent banaliser ces démarches afin qu’elles modifient elles aussi leur comportement. Tout le monde y gagne.

NB : je parle ici d’environnement, mais dans une démarche d’éco-conception la santé est également prise en compte. Le règlement REACH prévoit des étiquetages avec codes correspondant à des mises en garde, des conditions d’utilisation de ces produits ainsi que des restrictions d’utilisations à cet effet (interdiction ou modération). Article à venir…

Marketing et éco-conception

Une entreprise peut mettre en valeur le fait qu’un produit ait été éco-conçu.  Elle peut l’utiliser dans sa démarche marketing comme un atout majeur. Je dirais que le souci peut venir des labels en tout genre qui sont distribués à tout va et auxquels personne ne peut vraiment se fier. Le contenant prend alors le pas sur le contenu…bref.

Le marketing suit le règle des 4P : Product, Promotion, Price, Place.
Nous pouvons donc faire une approche générale par ce biais…

Product

Si lors de l’étude du besoin, un produit éco-conçu apporte en plus de l’utilisation optimale une satisfaction en terme de responsabilité environnementale au client, c’est tout bénéfice. En effet, le fait que le produit soit éco-conçu peut déjà responsabiliser le client sur son « coup de pouce » pour protéger l’environnement. Si le produit perd en qualité et/ou en fonctionnalité il faudra, lors de la promotion, réorienter le message de vente.

Promotion

On peut garder la même ligne directrice de vente en ajoutant le fait que le produit ou service respecte au maximum l’environnement pour une même utilisation. C’est ce qui se passe en ce moment dans la majorité des publicités où on nous présente des innovations. Economie d’énergie, baisse de la pollution, baisse de la consommation, bois issu de forêts entretenues durablement.

Price

Le prix peut être le point critique d’un produit éco-conçu. En effet nous avons pu voir précédemment qu’une méthode d’évaluation environnementale (comme l’ACV) peut coûter un certain prix et que les modifications conséquentes dans la fabrication peuvent faire augmenter les prix. Les économies faites dans certains domaines (transport des matières premières par exemple) peuvent subvenir au maintien du prix du produit.

Place

La distribution est un élément pris en compte dans une évaluation environnementale.
Ex : rapprocher la production de la distribution, économiser en emballage afin d’économiser les « voyages ». LECLERC et AUCHAN avec leurs tubes de dentifrice sans emballage. Réduction de 35% du poids de l’emballage pour LECLERC et 22 tonnes de carton économisé par AUCHAN. Il y a bien sûr les économies d’énergie conséquentes.

Tout ceci est une ébauche qui n’est pas exhaustive.

L’Ipad est programmé pour être rapidement obsolète

C’est l’événement! La sortie en France de l’iPad, le dernier joujou d’Apple. Une tablette numérique qui permettra de naviguer sur Internet, jouer à des jeux vidéos, regarder des vidéos et des photos, écouter de la musique et aussi lire des livres et des journaux. Alors que beaucoup se félicitent de cette nouveauté technologique, des associations écologistes dénoncent le gaspillage des matières premières et les pollutions engendrées par cet appareil. Pour Anne Bringault, directrice de l’ONG Les amis de la Terre, l’iPad est le “symbole d’une époque de surconsommation”.

 

 

 

Apple présente l’iPad comme un produit éco-conçu, sans substances toxiques et  peu consommateur d’énergie grâce à un écran à LEDs. Qu’en pensez-vous ?

Anne Bringault : Les constructeurs font des efforts car ils sont critiqués. Il n’en demeure pas moins que l’iPad est un produit anti-écologique. Alors qu’il reste du domaine du gadget, il engendre une consommation en ressources naturelles et en énergie conséquente, peu adaptée à un monde fini. A contrario, les livres, qu’il pourrait remplacer, consomment du bois, mais peuvent être produits avec du papier recyclé et, surtout, peuvent être prêtés et conservés à vie. Il n’existe pas encore d’analyse du cycle de vie (ACV) de l’iPad mais il est possible de se faire une idée de son impact environnemental grâce à un bilan carbone de l’eBook réalisé l’an dernier par le cabinet Carbone 4 : le livre électronique engendre 250 fois plus de CO2 qu’un livre classique. En effet, ces appareils électroniques entraînent une dépendance croissante et colossale aux terres rares, des métaux qui permettent de fabriquer leurs composants.

Quelles sont les conséquences de cette dépendance ?

Anne Bringault : La production d’appareils toujours plus technologiques aggrave la raréfaction de ces ressources naturelles et provoque des conflits pour se les accaparer, comme par exemple en République démocratique du Congo. Par ailleurs, leur extraction, essentiellement dans des mines chinoises, se fait dans des conditions environnementales et sociales désastreuses. Les terres rares ne se présentent jamais à l’état pur ni en gisements très concentrés : elles doivent être séparées d’autres minerais dans des opérations lourdes d’impacts toxiques, pour l’air, l’eau ou les populations locales. La France a adopté une position de sécurisation de l’accès à ces ressources, en voulant créer un grand groupe minier autour d’Eramet et Areva, au lieu d’essayer de réduire notre consommation.

Comment réduire l’impact écologique de produits comme l’iPad ?

Anne Bringault : Il s’agit avant tout d’allonger la durée de vie de ces appareils et de favoriser le recyclage de leurs composants pour préserver les matières premières. Au contraire, l’iPad est programmé pour être rapidement obsolète. Sa batterie, par exemple, est soudée à l’appareil de sorte qu’une fois usée, il faudra tout changer. Comme pour les téléviseurs ou les téléphones portables, on se donne bonne conscience en ramenant les appareils chez les vendeurs. Mais très peu de composants sont réellement recyclés. La majorité sont broyés puis incinérés. Les appareils qui fonctionnent encore sont envoyés dans des pays en développement, où ils serviront quelques temps, avant d’être eux aussi incinérés. Des objets comme l’iPad sont donc polluants sur l’ensemble de leur cycle de vie. C’est pourquoi il faut contraindre les industriels à fabriquer des produits robustes que l’on puisse garder plus longtemps.

Source: le Monde

Anne Bringault est la présidente de « Les amis de la Terre », une association de protection de l’Homme et de l’environnement.

Cette association oeuvre pour des sociétés durables au Nord comme au Sud dans lesquelles :
- Les besoins fondamentaux des générations présentes soient satisfaits sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire les leurs
- L’accès et le partage des ressources naturelles soient équitables ; le droit de chacun à vivre dans un environnement sain et le devoir de le préserver soient respectés.

Pour en savoir plus sur « Les amis de la Terre »: http://www.amisdelaterre.org

Définition du Développement Durable

Le développement durable se veut un processus de développement qui concilie l’écologique, l’économique et le social et établit un cercle vertueux entre ces trois pôles : c’est un développement, économiquement efficace, socialement équitable et écologiquement soutenable.

Il est respectueux des ressources naturelles et des écosystèmes, support de vie sur Terre, qui garantit l’efficacité économique, sans perdre de vue les finalités sociales du développement que sont la lutte contre la pauvreté, contre les inégalités, contre l’exclusion et la recherche de l’équité.

Naissance du Développement Durable

En 1971, le Club de Rome lance un vrai pavé dans la marre en publiant Halte à la croissance. Face à la surexploitation des ressources naturelles liée à la croissance économique et démographique, cette association privée internationale créée en 1968, prône la croissance zéro. En clair, le développement économique est alors présenté comme incompatible avec la protection de la planète à long terme.

C’est dans ce climat de confrontation et non de conciliation entre l’écologie et l’économie que se tient la Conférence des Nations Unies sur l’Environnement humain, à Stockholm, en 1972. Conférence qui sera à l’origine du premier vrai concept de développement durable, baptisé à l’époque éco-développement. Des personnalités comme Maurice Strong, organisateur de la Conférence, puis le professeur René Dubos, Barbara Ward et Ignacy Sachs, insistent sur la nécessité d’intégrer l’équité sociale et la prudence écologique dans les modèles de développement économique du Nord et du Sud. Il en découlera la création du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) ainsi que le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).

Mais plus le temps passe, plus la société civile prend conscience de l’urgence de mettre en place une solidarité planétaire pour faire face aux grands bouleversements des équilibres naturels. Ainsi, au cours des années 1980, le grand public découvre les pluies acides, le trou dans la couche d’ozone, l’effet de serre, la déforestation et la catastrophe de Tchernobyl !

Dès 1980, l’UICN parle pour la première fois de Sustainable Development (traduit à l’époque par développement soutenable). Mais le terme passe presque inaperçu jusqu’à sa reprise dans le rapport de Gro Harlem Brundtland, Notre Avenir à tous, publié en 1987. À l’époque Premier ministre en Norvège et présidente de la Commission Mondiale sur l’Environnement et le Développement, madame Brundland s’attacha à définir ce concept de Sustainable Development par  » un développement qui répond au besoin du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs « . Depuis cette date, le concept de développement durable a été adopté dans le monde entier.

Ecosmose: informations et actualités sur l’environnement et l’éco-conception

L’osmose est un phénomène de diffusion spécifique. C’est un échange entre deux parties influencé par une concentration. La découverte de ce phénomène en 1854 a permis de mieux comprendre les échanges chimiques dans les organismes vivants.

L’industrie a longtemps produit et produit toujours en rejetant des quantités significatives de produits et déchets nocifs pour la nature. Ceci crée un déséquilibre impactant les éléments naturels. Cette nature, équilibre fragile et complexe n’est pas apte à assimiler de telles concentrations et les effets s’en ressentent : effet de serre, pluies acides, contamination des nappes phréatiques, sécheresse – des termes qui malheureusement se banalisent…

Le but d’Ecosomose est d’échanger et d’informer sur ce possible équilibre entre industrie et la nature avec son environnement unique et fragile.

Exemple:

– Introduire un maximum d’éléments naturels dans les priocess (produits brut avec produits de décomposition dégradables et surtout assimilables par l’environnement dans la région exposée) .

– Etudier chaque étape de production de produits, biens ou services afin d’en minimiser les impacts sur l’environnement

Chimistes, biologiste, écologistes, industriels, responsables transports, … : tous ces corps de métier ne sont que complémentaires pour progresser vers un équilibre écologique. L’éco-conception joue dans ce sens et même les plus avares ne pourront qu’être gagnants à long terme. En effet la suppression d’un process dans la chaine de production, la moindre utilisation d’un quelconque produit ou la diminution de la distance de transport ne pourra faire que réduire la facture.

Dans « eco » nous avons donc deux concepts: économie et écologie.

Toute action est bonne à prendre pourvu qu’elle soit constructive. L’information AUTHENTIQUE et l’échange reste néanmoins la base de toute action positive et contrôlée.

Ecosmose est donc un blog dynamique visant à informer sur l’actualité de l’écoconception et les domaines qui l’englobent (législation, environnement, chimie, …) . Il ne demande qu’à évoluer et est à l’écoute de tout commentaire et/ou conseil pouvant enrichir les discussions.

Ecologiquement votre!

Analyse du cycle de vie

L’Analyse du cycle de vie est une méthode d’analyse permettant d’évaluer les impacts environnementaux d’un produit, d’un service ou d’un procédé et ceci à chaque étape.

Voici les principales étapes étudiées lors d’une Analyse de Cycle de Vie d’un produit (ACV):

Illustration d’une Analyse de Cycle de Vie (ACV).

L’eco-conception: innovation dans le respect de la nature

Définition de Éco-conception :

Désigne une démarche de management environnementale centrée sur le produit (biens ou services).

Elle consiste à prendre en compte des critères environnementaux dès la phase de conception du produit. Cette démarche prend en compte l’ensemble des phases du cycle de vie du produit, c’est-à-dire de l’extraction des matières premières à la production, en passant par sa distribution, son utilisation et sa fin de vie (recyclage). C’est une approche préventive et multicritère des problèmes environnementaux : eau, air, sol, bruit, déchets, matières premières, énergie, … L’objectif principal de la démarche est de diminuer quantitativement et/ou qualitativement les impacts d’un produit ou d’un service, tout en conservant ses qualités et ses performances intrinsèques.

L’éco-conception vise :
– à évaluer les principaux impacts d’un produit ou d’un service grâce à différentes méthodologies et divers outils,
– à minimiser ces impacts par différentes mesures : changement de matériaux, meilleure efficacité énergétique, recyclabilité des matériaux, reprise des produits en fin de vie, …

Une méthode efficace permet d’évaluer selon de multiples critères l’impact du produit du prélèvement des matières premières à son recyclage et sa potentielle réutilisation.

C’est l’Analyse du Cycle de Vie (ACV).